mercredi 10 janvier 2007

C'est marrant comme même quand on décide de sortir de son trou et que l'on ose lâcher queques morceaux de soi sur la toile on peux rester au final complètement anonyme.
La preuve?
Une grosse semaine que j'ecris et aucun commentaire sur ma prose.
Je ne le fait pas pour ça et quelque part je cherche quand même à rester invisible, malgrès tout, sur ce gros trognon de pomme que devient le web.
Non c'est aussi bien pour l'instant, il me faut encore un brin d'intimité( c'est relatif).
Paradoxe de l'humain: je veux être vu mais pas qu'on me regarde.
J'ai repris les évangiles de jean: ça chauffe pour jesus!
Le temps de digerer mes lectures et j'entreprends une synthèse(pour voir si j'ai bien tout saisis des sens...)

lundi 8 janvier 2007

Bon hier soir c'etait vraiment pas top!
Gros cafarnaeum dans ma petite tête.
3000 idées qui se téléscopent et qui n'aboutissent à rien pour au final donner un méga coup de bambou au moral.
En fait hier j'avais décidé que j'étais nul et rien n'arrivait à me remettre dans une spirale plus joyeuse.
Un peu d'introspection ça fait pas de mal mais il faut pas s'apesentir trop longtemps.
En fait je me pose trop de questions, les réponses ne viennent pas et l'incommensurable ignorance dans laquelle j'ai l'impression de me trouver prend le dessus et me défonce encore plus le moral.
En fait, les moules pour faire les clefs sont sous mes yeux: les livres et l'écriture.
Pour la lecture, pas trop de soucis il suffit de se laisser guider dans les pages et tenter de saisir la moelle de l'auteur ou tout du moins quelques idées..
Pour ce qui est de l'écritrure cela se corse.
Ecrire pour quoi et pour qui me demandais-je?
Je pense le faire d'abord pour moi, le monde m'attendra!
Je retourne aux évangiles de jean.
Au moins j'arrêterais de m'apitoyer sur mon sort.
Suis-je pitoyable? Ouais, quand je me considère comme une merde un dimanche soir blaffard alors qu'un partie de Ma lumière siège à côté de moi.
Sans amour je ne suis rien, alors je suis tout!
Force et honneur disent les braves? Je me contente de la force dans ce qu'elle a de meilleur pour le moment, les honneurs viendront peut-être...Ou pas.
Wait and see.

dimanche 7 janvier 2007

Dimanche soir.
C'est dôle comme le dimanche soir à toujours fait partie de ces moments qu' l'on déteste le plus dans une semaine (en tout cas pour ma part...).En fait c'est surtout la fin d'après midi qui reste terrible. Je me chope un coup de blues pas glop du tout et ce depuis des années.
Bon c'est pas le pied ce soir pour disserter!
A plus tard.

vendredi 5 janvier 2007

Doit-on forcément avoir un avis sur tout?
Si je réponds à la question alors je donne mon avis sur celle-ci...
Remarque, on peu s'en foutre aussi, il faudra pas venir pleurer si plus tard on se mange un: t'avais qu'a donner ton avis!
Le plus simple c'est de trier les sujets sur lesquels on ne veux surtout pas donner son avis et se spécialiser en donneur d'avis sur des thèmes précis.
Eluder certain sujet relève quand même d'une certaine réflexion car en faisant un tri on choisit délibérément les sujets pour lesquels on est armé, au détriment d'autres pas forcément moins intéressant mais en tout cas moins à sa portée.
Sacré dilemme!
Mettre les pieds dans un domaine où l'on ne connait rien...
Le début d'un apprentissage, quel qu'il soit vous propulse illico vers...du vide, ou en cas tout cette affreuse sensation que l'on a quand on rêve que l'on tombe sans jamais arriver nul part.
On remet les compteurs à zero et on se remet en selle.
Dur labeur!
Même pas peur...enfin si quand même un peu.
Suis-je capable? Ce n'est pas tant le travail qui m'effraie que la compréhension de ce nouvel apprentissage à venir.
En tout cas il ne faut pas que je m'auto-censure et que je laisse mon esprit vagabonder pour jeter sur ce clavier des tonnes de choses (petites ou grandes) qui me permetront d'avancer sur un chemin qui me semble enrichissant au possible mais qui en exige beaucoup en retour.
Le partage. Formidable notion humaniste que l'on nous inculque depuis tout petit.
En fait c'est quoi? De l'abnégation? A suivre...
A mon avis, il va falloir que je fouille sur ce sujet au plus profond de moi pour voir ce que moi j'en pense.
Et merde! Voilà que je donne le mien...d'avis

jeudi 4 janvier 2007

Hier je n'ai rien ecrit!
Panne d'inspiration, ou flème. A mon avis un peu des deux.
Je me suis mis deux phrases de côté sur lesquelles je pense arriver à sortir quelques choses de mon moi intérieur (comme c'est pompeux!).
Non sans rire, je me demande comment un ecrivain fait pour rester des heures devant son clavier pour orchestrer, mettre en place une histoire qui tienne la route.
C'est leur metier... Ouais, n'empêche que c'est fort.
J'ai repris la lecture des évangiles de jean. Non pas que je sois croyant mais par culture perso et poussé par un ami.
Drôle de truc à lire. J'ai toujours fuit la religion en général et me voilà maintenant en train de lire des ecrits religieux qui me parle de dieu de jesus et des juifs...
En fait, le plus dur, c'est de se détacher du côté religieux du texte pour y percevoir quelques lumières qui sont loin d'êtres toutes évidentes.
Pour lire un texte comme celui-là il faut se détacher de ses idées reçues pour ne lire qu'une fiction initiatrice. La perversion (à mon idée) c'est que l'interprétation de ce texte par les religieux ramène tout à dieu.
C'est facile, il est nommé à maintes reprise et il constitue la voie (ou la voix!?) la plus simple pour ne pas élaborer une autre compréhension de ce texte.
Je m'explique: quand on ne connait pas la route pour aller d'un endroit à un autre, on se sert d'un GPS qui vous conduit directement où vous souhaitez. Vous êtes arrivés sans savoir par où vous êtes passé! Pratique en définitive, pas besoin de réfléchir on le fait pour nous.
Quand on nous assimile à des moutons "guidés" par un berger on est pas loin de la lobotomie.
Où est passé le libre arbitre?
Ben justement, la deuxième solution consiste à prendre un carte et à tracer son itinéraire.
C'est plus compliqué mais nettement plus enrichissant!
Encore faut-il savoir la lire cette p....n de carte. Autant l'IGN fait bien son boulot, que pour ce qui est de l'âme humaine le parcours à semble t-il été effacé depuis belle lurette et sa recherche demeure une initiation par forcément accessible à tout le monde.
Je ne pense pas que se soit un monopole détenu par quelque élite car alors on retombe dans le système bien connu des Eglises et du dogme, mais qu'il faut le chercher avec envie et une bonne dose de liberté pour le trouver.
"Aie le courage de te servir de ton propre entendement" Emmanuel Kant.
Ne serait-il pas antinomique dans ces conditions de se laisser dicter sa vie sans prendre une part active à son propre developpement en mettant de côté les moralisateurs et les dicteurs de bonne conduite?
Il me semble logique de s'affirmer en tant qu'Homme et de laisser tomber notre côté mouton qui est certe confortable mais qui empeste le conformisme et la morale.
Léo ferré disait "n'oubliez jamais que ce qu'il y a d"encombrant dans la Morale, c'est que c'est toujours la Morale des autres"

mardi 2 janvier 2007

C'est quand on commence à ecrire que la chose devient ardue.
En générale il y a toujours une foultitude d'idées qui se bouscule dans la tête et quand il sagit d'y coucher par ecrit...La panne!
Pourtant je trouve l'exercice sympa et me remémore ma période collège où j'avais une furieuse envie d'écrire un roman; et où je ne l'ais pas fait...
On devrait encourager (s'encourager?) l'ecriture.
Je me dis régulièrement que quand je lis il faudrait que je prenne quelques minutes pour faire le point sur ces lectures, sur ce que j'en ai retiré, ce que j'ai retenu.
Il y a peu on m'a demander de citer mes dernières lectures...
Bonne question!!
Si j'avais ecrit quelques lignes pour poursuivre la pensée de l'auteur ou même debuter moi même une réflexion sur ses propres idées, et bien le contenu de ces livres ne se serait pas évaporé aussi vite!
Organniser ces pensées par ecrit..Je vais acheter un carnet et un beau stylo (c"est un bon début).C'est furieux comme envie, merde j'ai perdu trop de temps et de paroles il faut maintenant que mon cerveau me serve enfin à quelque chose de plus profond qu'une intelligence de surface très utile au travail mais qui n'apporte rien de concret sur un plan personnel.
C'est un peu brouillon mais ça illustre parfaitement l'idée que je me fais de l'ecriture.
Je redemarre (renait?) à zero.
J'ai rien foutu à l'ecole donc il me faut recommencer.Soit.
Le 2 janvier 2007 me semble une bonne date pour appliquer certains principe et m'y tenir (de toute façon d'ici peu je n'aurais plus le choix).
Objectif premier: lire et ecrire, lire et comprendre.
Restons calme, la revolution intellectuelle que je me prépare ne doit pas me changer en CHIANT. J'ai l'avantage d'avoir un fée qui fait tinter ses clochettes .
Tant qu'a renaitre autant le faire au meilleur moment: à l'Aurore.
Je t'aime!

lundi 1 janvier 2007

2006 est passé 2007 est arrivé.Bonne année!
Cette année on change tout. On prend de bonnes résolutions et on avance.
Ouais bof, ça change pas des autres années... C'est marrant cette capacité qu'on a à vouloir tout changer à la même période en restant de toute façon sur le même modèle que l'an dernier sauf que c'est mieux puisqu'on l'a decidé et que de toute façon c'est un nouvelle année qui demarre donc forcément mieux que la précédente car toutes les emmerdes ne nous sont pas encore tombées dessus.
Non, 2007 sera mieux car c'est décidé.
Ca à l'air con mais une fois que c'est formalisé on se sent mieux et les idées arrivent. Le tout c'est d'aller au bout des choses.
Par exemple:2006 c'est l'année des blogs donc, je crée mon blog...Facile! Mais après il faut l'alimenter de trucs plus ou moins perso et y mettre des idées dans l'espoir pudique que d'autres liront ma prose et ajouteront quelques commentaires sympas pour motiver la bête.
Des idées! Encore faut-il en avoir. Autant c'est facile de briller à travers les autres que d'allumer sa propre petite bougie nous met devant un vide cosmique où l'étendue de son inculture devient une certitude.
Et comme le dit une philosophe bien méconnue: